De la cohérence cardiaque à la cohérence psychophysiologique
M. Childre, fondateur de l’Institut de recherche HeartMath, est à l’origine des découvertes sur la cohérence cardiaque.
Ce concept fondamental étudié depuis 1991 a donné lieu à de nombreuses publications scientifiques que vous pouvez retrouver sur le site www.heartmath.org ou dans les revues scientifiques classiques.
En 1995, le terme « cohérence cardiaque » s’est tout d’abord imposé en cardiologie. Il a fait l’objet d’études afin de démontrer comment les émotions positives réduisaient les altérations de l’équilibre sympathico-vagual et pouvait être bénéfique au traitement de l’hypertension (1)
Ce concept a été étendu en 1996 à une notion de synchronisation, en anglais « entrainment » (2) de l’ensemble des systèmes biologiques (systèmes nerveux, hormonaux, électriques, cardiaques et biomécaniques).
A titre d’exemple, cette synchronisation correspond à la chaîne de vélo servant de courroie d’entraînement entre le plateau du pédalier et les pignons de la roue arrière : le cœur est le système d’entraînement le plus puissant et son comportement impacte directement les autres systèmes biologiques.
Aujourd’hui cette notion est étendue à l’ensemble des domaines physiologiques et psychologiques. Les spécialistes scientifiques parlent aujourd’hui de cohérence psychophysiologique dans la mesure ou la psychologie (nos émotions et notre façon de percevoir les choses) influence notre biologie (systèmes hormonaux, systèmes nerveux, connections neuronales) qui influence à son tour notre façon de ressentir et de percevoir. C’est une boucle circulaire.
De manière plus générale, l’état de cohérence correspond à une pensée claire, un équilibre émotionnel, une meilleure logique, plus d’organisation et de disponibilité.
En physique la cohérence décrit une distribution ordonnée et harmonieuse de points qui forment une courbe souple et régulière.
La cohérence entre les systèmes biologiques signifie une synchronisation des messages envoyés entre de multiples systèmes.
M. Childre, fondateur de l’Institut de recherche HeartMath, est à l’origine des découvertes sur la cohérence cardiaque.
Ce concept fondamental étudié depuis 1991 a donné lieu à de nombreuses publications scientifiques que vous pouvez retrouver sur le site www.heartmath.org ou dans les revues scientifiques classiques.
En 1995, le terme « cohérence cardiaque » s’est tout d’abord imposé en cardiologie. Il a fait l’objet d’études afin de démontrer comment les émotions positives réduisaient les altérations de l’équilibre sympathico-vagual et pouvait être bénéfique au traitement de l’hypertension (1)
Ce concept a été étendu en 1996 à une notion de synchronisation, en anglais « entrainment » (2) de l’ensemble des systèmes biologiques (systèmes nerveux, hormonaux, électriques, cardiaques et biomécaniques).
A titre d’exemple, cette synchronisation correspond à la chaîne de vélo servant de courroie d’entraînement entre le plateau du pédalier et les pignons de la roue arrière : le cœur est le système d’entraînement le plus puissant et son comportement impacte directement les autres systèmes biologiques.
Aujourd’hui cette notion est étendue à l’ensemble des domaines physiologiques et psychologiques. Les spécialistes scientifiques parlent aujourd’hui de cohérence psychophysiologique dans la mesure ou la psychologie (nos émotions et notre façon de percevoir les choses) influence notre biologie (systèmes hormonaux, systèmes nerveux, connections neuronales) qui influence à son tour notre façon de ressentir et de percevoir. C’est une boucle circulaire.
De manière plus générale, l’état de cohérence correspond à une pensée claire, un équilibre émotionnel, une meilleure logique, plus d’organisation et de disponibilité.
En physique la cohérence décrit une distribution ordonnée et harmonieuse de points qui forment une courbe souple et régulière.
La cohérence entre les systèmes biologiques signifie une synchronisation des messages envoyés entre de multiples systèmes.